Norbert Hardy, né à Brest en 1959, est Cherbourgeois d’adoption depuis plus de quarante ans. Photographe de formation et de métier, il se consacre aujourd’hui à un travail plus personnel avec toujours cette même pratique du noir et blanc argentique.
Lieu d’exposition
Monte Cristo
Photographe passionné depuis plusieurs années, j’aime les images qui nous racontent des histoires. Dans ma pratique, la photographie me sert de prétexte pour m’amuser à travers les mises en scène et l’expérimentation.
Pour cette exposition, je propose une sélection de photomontages où se mêlent réalité et imaginaire dans des lieux significatifs du Havre et ses environs. Comme une invitation au rêve, le temps d’une image.
Pour en savoir plus
http://nicolaslorre.tumblr.com/
Lieu d’exposition
Le Chat Bleu
Impressions havraises
J’ai réalisé une série de photographie sur Le Havre, le port, la plage et la ville, en noir et blanc, au format panoramique. Impression sur papier d’art mat au format panoramique avec une grande marge blanche. Encadrement sur mesure sans marie-louise ni verre (pour garder la qualité du papier)
12 de ces photos ont obtenu le 1er prix au concours régional Haute Normandie de la FPF et le 9ème prix au concours national auteur en 2014.
En savoir plus
http://almila.perso.sfr.fr/
Lieu d’exposition
PhotoPix
J’ai découvert la photo en 2009, depuis j’ai appris en autodidacte en me documentant sur les grands photographes. Passionné par la photo de rue ou communément appelé « street photography ». je m’inspire des grands du domaine comme Garry Winogrand, Daido Moriyama, Josef Koudelka William Klein pour le noir et blanc et William Eggleston, Alex Webb et Martin Parr pour la couleur.
Je travaille au numérique mais je ne modifie aucune photo, je développe sur ordinateur comme l’on pourrait le faire à l’argentique. Je préfère travailler avec des focales fixes 28mm et 40mm. Je me fais le plus discret possible le plus « invisible » afin de ne pas être intrusif pour les gens beaucoup disent que la « street photography » se rapproche du voyeurisme, je suis assez d’accord mais nous passons à côté de tant de belles choses à cause nos vies modernes rythmées à 100 à l’heure. La street photography me permet de ralentir cette vie et de prendre le temps, d’errer sans autre but que de faire de la photo. J’aime jouer avec la lumière, les contrastes, les formes et laisser le public créer une scène de la vie que j’essaye de capturer l’instant idéal. J’aime également en opposition à cette invisibilité, aller volontairement vers les gens et les photographier simplement dans la rue les faire poser pour un portrait de rue.
En savoir plus sur
http://fredericalixphotographie.blogspot.fr/
Lieu d’exposition
Café INK
Françoise Hillemand vit et travaille à Paris. C’est après avoir vécu quelques années aux Etats-Unis qu’elle découvre la photographie.
Discrète et subtile, elle capte les atmosphères particulières, saisit les scènes de la vie quotidienne, arrête le temps, amuse ou bien émeut notre âme selon son humeur. Adepte du courant Humaniste, cette artiste enthousiaste à la curiosité insatiable, n’hésite pas à oublier la réalité. L’image devient alors rêve, mouvement, matière vibrante, toile abstraite ou encore calligraphie …
A travers son oeuvre, Françoise Hillemand nous offre une vérité, sa vérité, où celui qui regarde ne reste pas indifférent.
Série : Paradis Perdus
Je m’attache particulièrement à l’idée du souvenir et à son expression photographique. Le souvenir n’est jamais une restitution parfaite du réél. Il est teinté de ressenti: nostalgie, envie, volonté d’oubli… Le souvenir se transforme avec le temps qui passe, sa representation mentale évolue.
Je tente dans mes series photographiques de retranscrire ces effets du temps sur notre mémoire.
En savoir plus
http://www.fh-photographie.com/
Lieu d’exposition
EFS
« La barbe c’est comme les seins, plus c’est gros plus on regarde »
Série de photos sur la pilosité masculine
Lieu d’exposition
L’Hair Unik
«Depuis plusieurs années, je photographie les sculptures en paille qui jalonnent les routes bretonnes et normandes. Ces véritables monuments sont réalisés, pendant l’été, par les agriculteurs pour annoncer les comices agricoles ou
les fêtes de la ruralité. Je les trouve particulièrement belles et originales, elles traduisent une étonnante forme d’art rural. Elles sont éphémères, souvent le temps d’un été et leurs emplacements ne sont jamais indiqués sur aucune carte. C’est donc par hasard, au détour d’un champ, qu’elles m’apparaissent, sous un ciel orageux ou bleu éclatant.Ces constructions uniques, véritables totems ruraux, traduisent une créativité spontanée, primitive et tribale. Elles n’obéissent à aucun code établi, font le lien entre l’enfance et un monde adulte sublimé, lié à la terre et aux éléments naturels, parfois ponctués d’artifices (matière plastique, seau, couvercle, typographie manuscrite), sans code conceptuel, juste figuratif, débarrassé de préjugés artistiques.
Lien site Internet : www.charleslefrancq.com
Lieu d’exposition
Le Sonic