Invitée d'honneur du parcours 2020 GESTES GITANS Ils sont là, mais y sont-ils seulement? Eux, ce sont les Gitans, petit peuple de l’ombre des quartiers de l'ombre, et c'est à l'ombre de cette ombre que leur société s’épanouit.
TENTATION DE DISPARITION « Une fois entré dans les montagnes, personne ne rencontre plus personne. Ce n’est là que l’activité totale des montagnes. Il ne reste aucune trace de quelqu’un une fois qu’il est entré dans les montagnes. » Maître Dogen.
Je suis un survivant des temps obscurs. Mes cicatrices sont les blessures de mes ancêtres.
Pour qui photographions nous ? Pour le moment, la photographie fait « part entière » avec ma vie. Elle m’accompagne, m’aide à avancer et à me situer dans le plus grand que moi. Je la pratique assidûment depuis une dizaine d’années.
MASALA COLORS est un dialogue entre deux continents, un pont entre deux cultures, des rencontres extraordinaires, des échanges enrichissants et précieux. Il est aussi une invitation au voyage comme un conte en images.
Sacrée Nature « La Nature est un temple… ». C’est le début du poème Correspondances de Baudelaire qui a inspiré la série Sacrée Nature où l’on invite un élément végétal à se glisser par surimpression à l’intérieur d’une église.
PHOTOSYNTHESE Été 2019, Julie Aubourg se voit confier un fond photographique foisonnant d’images de végétation d’un auteur inconnu et composé de plusieurs centaines de tirages argentiques.
Perspectives La série d’intérieurs d’Eglises « Perspectives » est une série au long cours, débutée il y a déjà 3 ans, et qui vient s’enrichir chaque année de quelques nouveaux clichés.
Cette série « Shadow of a doubt » a été réalisé en partenariat avec Lomography et leur pellicule Potsdam Kino B&W 35 mm. Inspiré d’un univers cinématographique où l’expressionnisme allemand rencontre la New Wave des années 80, Shadow of a doubt raconte l’histoire de deux jeunes filles perdues dans un univers urbain quasi abstrait...
Il y a ce que nous traversons, ce qui s’est construit, ce qui s’efface. Il y a les arbres qui grandissent, les pierres qui s’usent, l’eau qui coule, la mer toujours...
Il porte un maillot de bain. Elle porte un maillot de bain. Il tourne le robinet. Elle me regarde. Il sourit
Atlas est conçu comme la représentation d’un espace mental habité par des images imprécises, brouillées, parfois difficilement identifiables. S’agit-il de souvenirs, de choses inventées ou déjà vues ? Des gens, des bâtiments, des automobiles… Il y a quelque chose d’un peu étrange dans cette accumulation sans logique apparente.
Rendre hommage à ces grandes femmes photographes qui lui ont inspiré force et résilience. Soigner son âme en créant ces images avec ses mains. Comme le décrit très bien Boris Cyrulnik, la résilience est la capacité de naviguer entre les torrents.
Au bout du monde Un lieu au nom superlatif, lieu commun des promenades locales, un point sur la carte, cerné par la ville mais bout du monde tout de même.
Ombre en bleu - Azuléjos-cyanotype Quand je vais à la plage avec des amis, plutôt que de regarder les filles en bikini...
Petites Solitudes Océaniques est une nouvelle qui aborde, par le texte et l’image, le sujet de l’expérience philosophique du Sentiment Océanique.
Selon Joaquim Nabuco, un auteur brésilien, «le plus touchant de tous les mots doit être le mot portugais saudade (prononcer saoudade). Il exprime le regret de l’absence, le chagrin des séparations, toute la gamme de la privation des êtres et des objets aimés.
Le geste photographique de Marie Verstraeten se porte sur les espaces qui ont cette capacité de bouleverser les échelles et les relations que l’individu porte à son environnement ; le regard se poste entre les vides et les pleins, cherchant à faire entrer en conversation les ensembles et les détails.
Abandonnées, vivantes, fatiguées, déglinguées, ces enseignes forcent le regard, empreintes d’un pouvoir poétique, réaliste, graphique, géographique, sociétal, des témoins qui interrogent.
« Superpositions » est un travail commencé en 2013 presque par hasard. Par un mouvement d’appareil photo lors de la prise de vue, j’ai constaté qu’il était intéressant de capturer 2 points de vue dans une seule image.
Construite autour d’un couple incarnant les sept péchés capitaux, cette série photographique nous plonge dans un univers « dantesque » où s’entremêlent les forces et les faiblesses de l’Amour.
Dans cet environnement moderne, tout ce qui compose le paysage fait écho sur les façades des grattes ciel ou, encore les flaques d’eau laissées après la pluie. Les façades se transforment en écrans géants de plein air. Des scènes de la réalité, transformées, sont projetées.
L’utilisation de la polarisation permet de rendre visible des objets qui ne présentent pas de tonalités de couleurs à l’œil nu. La déviation de la longueur d’onde de la lumière rend cette visualisation possible pour des objets transparents.
Je crée des images à partir d’éléments obsessionnels, mort, érotisme, religion, à travers le corps (vivant, mort, ou représenté), l’histoire de l’art (hommage), les rituels (religieux, amoureux, et manipulation).
Voyageur incessant, Fred_H@LH capte l’ombre et la lumière pour fixer un instant invisible ou inattendu. Le temps d’une pause, il témoigne de l’ambiance ou de la poésie d’un reflet ou d’une forme au milieu du tumulte ambiant.
Les photographies de Nicolas Wilmouth témoignent d’une recherche picturale avancée, d’un travail subtil sur la lumière et les matières, ainsi que d’une attention particulière portée à la mise en scène.
Je travaille simultanément sur plusieurs séries différentes mais toutes avec le même désir de donner à voir et proposer un regard sur le monde. Ce désir ne prend tout son sens que dans le partage avec les autres et, quand c’est possible, avec le retour que l’on peut en avoir de leur part qui peut faire évoluer à nouveau mon regard.
Ma passion d’adolescent est devenue mon métier en 1987 avec le rachat du magasin de matériel photographique "Roland Photo".
Située à environ 22 km des côtes françaises, l’île d’Yeu (surnommée le Caillou par ses habitants) est l’île du Ponant la plus éloignée du continent. Lieu intemporel, l’actualité y est souvent relayée au second plan par les histoires locales et les prévisions météo-marines.
« Impression… Le Havre » Inspiré par le lieu de son exposition : l’Hôtel des ventes du Havre, le collectif instHavre vous propose de voyager dans le temps ou presque.
Clémence Barbier – Corentin Paar – Julie Graillot – Selya Kiliç - Camille Legentil – Clara Minisini – Juliette Poulin – Amélie Remblier - Benjamin Praité
La photographe Gaëla Blandy propose à ses élèves de 1ère année à Sciences Po Le Havre de photographier "La Liberté".
Cette exposition est née d’un voyage. Un voyage né d’une idée, celle de mon épouse de retrouver le sillage de son papa, officier mécanicien qui navigua sur la ligne Le Havre – New-York au sein de la Compagnie Générale Transatlantique.
Il y a finalement 2 sortes de photographes, ceux qui captent une partie du réel et ceux qui fabriquent leur réel.