Rencontre et signature le samedi 22 mai de 13h à 16h Rencontre autour d’un verre et signature le vendredi 28 mai à 16h
Le livre est disponible à la librairie « La Galerne » , 148 Rue Victor Hugo, 76600 Le Havre Vous pouvez également le commander auprès des Editions de Juillet
« Une fois entré dans les montagnes,
personne ne rencontre plus personne. Ce n’est là que l’activité totale des
montagnes. Il ne reste aucune trace de quelqu’un une fois qu’il est entré dans
les montagnes. » Maître Dogen.
J’avais attaqué mon périple,
traverser les Pyrénées par la Haute Route, sans vraiment comprendre le sens de
cette phrase du fondateur de l’école Sōtō du bouddhisme zen au Japon, mais je savais qu’elle m’accompagnerait tout au long
de ce voyage.
40 jours pour relier
la Méditerranée à l’océan Atlantique en autonomie, c’est le temps que je
m’étais donné. 40 jours, le temps de la transformation, ou de la disparition.
40 jours, c’est le temps de la traversée du désert par Elie et Moïse, le temps
du déluge, le temps de la résurrection.
J’avais d’ailleurs glissé
dans mon sac le livre de Christian Bobin, « Ressusciter ». Ses phrases étaient
limpides comme l’eau qui dégringole des montagnes. Il y parlait de son père
avec beaucoup d’amour et de bienveillance. « Je me suis penché
sur la tombe de mon père et j’ai appuyé ma main sur la pierre froide. Des
nuages obscurcissaient le ciel. Le soleil est apparu et il a posé sa main sur
la mienne. » Au fil des jours et des nuits, il m’a appris à regarder
le mien différemment.
40 jours, la
route était longue, et je n’avais rien d’autre à raconter et à photographier
que la montagne qui, peu à peu, s’obscurcissait, disparaissait dans une brume
épaisse. J’avais l’impression de m’y fondre tel un fantôme.
Depuis enfant, j’ai toujours adoré tracer des lignes sur des cartes, imaginer ce qui s’y cachait. Mon travail photographique est né ici de la confrontation physique avec les éléments, des sensations avec une nature qui impose l’humilité. Ces montagnes abruptes, ces vallées très encaissées, sont sans doute parmi les seuls espaces proches que l’homme ne peut conquérir, modeler et façonner à son gré. Il faut juste s’y glisser avec respect, et rendre compte de la puissance qui s’en dégage, presque s’y soumettre. Et garder à l’esprit que nous sommes issus de cette terre, de ces eaux fracassantes, de ces roches escarpées. Elles étaient là avant nous et seront là après. Cette exposition, conçue comme une installation, vous convie sur les traces du photographe à travers photographies et textes
La série
d’intérieurs d’Eglises « Perspectives » est une série au long cours,
débutée il y a déjà 3 ans, et qui vient s’enrichir chaque année de quelques
nouveaux clichés. L’objectif de cette
série est de présenter l’intérieur des plus belles, originales et emblématiques
Eglises de la région avec un regard différent de ce que l’on a l’habitude de
voir, que ce soit en photo ou à l’œil nu quand on va les visiter. J’ai donc
décidé pour cela deux méthodes :
L’utilisation d’objectifs dits « ultra
grand angles », qui dépassent l’angle de la vision humaine, et permettent
d’obtenir des perspectives vertigineuses quand on les emploie en plongée ou
contre plongée.
L’utilisation d’une rotule
panoramique, qui me permet de réaliser des rangées de photographies sur 360°,
de haut en bas, pour ensuite par association logicielle, d’obtenir des angles
de vue encore plus importants et inimaginables au départ.
Cette série
est au long cours car le travail sur place est long (de 3 à 8 heures pour un
seul point de vue sur trépied), de même que le travail de post traitement.
Chacune de mes sorties n’aboutit qu’à 2 ou 3 photographies au final.
Ce type de travail par association d’images me permet en outre d’obtenir des photographies de très grandes tailles, la plupart des photos ayant des côtés de 40 cm à 150 cm.
L’Eglise Saint Joseph du Havre étant une des Eglises les plus représentée dans ma série, il m’est tout de suite venue la motivation de proposer ma candidature à ce parcours photographique Havrais. Les autres Eglises majeures de la série sont celles d’Yvetot, la Basilique de Bonsecours, et la Cathédrale de Rouen.
Inspiré par le lieu de son exposition : l’Hôtel des ventes du Havre, le collectif instHavre vous propose de voyager dans le temps ou presque. Certaines photographies n’ont pas d’âge ? Le constat est qu’il est parfois difficile de pouvoir identifier l’époque d’une prise une vue. Des photographies contemporaines, prises sur le vif, spontanées peuvent nous emporter dans un autre temps. Faut-il alors se fier à un cadre ancien pour dater une image dans un temps passé ? La ville du Havre, son centre reconstruit, ses couleurs, ses lumières nous plonge naturellement dans des ambiances intemporelles. Au sein de cette exposition, le collectif instHavre confronte, associe, fait se dialoguer tirages anciens et modernes. Saurez-vous reconnaître les photographies d’archives de celles du collectif instHavre ?
Créé en 2017, instHavre est un collectif d’instagramers havrais réunissant des photographes amateurs et professionnels. Notre terrain de jeu, c’est le réseau social Instagram sur lequel nous partageons nos images de la cité océane.
A travers des challenges photographiques, nous encourageons la communauté d’instagramers locale à valoriser la Ville du Havre sous toutes ses formes. #lh_ausol, #lh_beton, #lh_street, #lh_minimalism, #lh_contrast…, chaque mois un nouvel hastag est dévoilé sur notre groupe Facebook et sur notre page Instagram. Que vous soyez amateur ou professionnel, au smartphone ou au reflex, en argentique ou en numérique, pour participer, il suffit de taguer ses images en utilisant le hastag du collectif (#insthavre) et celui du défi concerné.
Chaque semaine, un ou plusieurs instagramers sont mis à l’honneur sur le compte du collectif révélant ainsi un regard nouveau sur notre ville. Le mystère fait partie intégrante de nos projets, derrière un challenge peut se cacher une exposition ou une participation à une action culturelle. #Lh_fenetresurcour par exemple nous a permis de sélectionner les images présentées lors de notre première galerie éphémère ouverte en juin dernier.
Le collectif aime surprendre le regardeur par une ambiance, une couleur, un détail graphique ou insolite… Nous sortons du cadre technique de la photographie et accordons plus d’importance à l’émotion qu’elle suscite, à l’histoire qu’elle raconte, son écriture.
Expositions
Exposé au sein de la bibliothèque Oscar Niemeyer en octobre 2017 avec l’exposition « Instameet », à la Transat Jacques Vabre, nous remportions le 3ème prix du concours « Illustrez votre CEM » lors de son inauguration en février 2018.
En avril 2019, le collectif intégrait le parcours photographique urbain Are you experiencing ? avec notre exposition « Assemblage », présentée à la bibliothèque Oscar Niemeyer. En clôture de cet événement, nous organisions notre première battle photographique, un concept s’inspirant des joutes entre rappeurs et des matchs d’improvisation théâtrale.
Une première galerie éphémère nait en juin 2019, l’exposition intitulée #36 poses prenait place sur un panneau d’affichage libre dans une rue passagère du centre-ville. 36 tirages photographiques sélectionnés parmi les images taguées #lh_fenestresurcour étaient ainsi valorisés. L’expérience est réitérée à l’automne de la même année. L’exposition #18 poses créée grâce au dernier challenge #lh_beton présentait 18 photographies de 18 instagramers. instHavre investit désormais l’espace urbain. Les claustras de la rue Raoul Dufy devenaient la structure d’accrochage de cette seconde galerie éphémère. Janvier 2020 sera l’occasion pour le collectif de présenter sa troisième galerie éphémère. Le lieu sera dévoilé quelques jours avant l’évènement. Intitulée 3’33 cette dernière dévoilera 33 photographies de 33 instagramers. Inspiré du travail de Piet Mondrian, la couleur et la composition seront au cœur de ce projet.
Février 2020, nous présentions l’exposition EGO au sein de la bibliothèque Oscar Niemeyer. Curieuse d’imaginer ses poèmes mis en images, la poétesse Christelle Lollier-Guillon avait proposé au collectif de mettre en valeur ses mots en photographies en s’inspirant de son recueil EGO. L’exposition sera cloturée par une lecture clôturée par une lecture publique des poèmes par deux comédiens : Christian Richer et Evelyne Deschamps.
Les îlots V40 et V41 au cœur des rues piétonnes du Havre sont classés au Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis le 15 juillet 2005. Pour fêter les 15 ans de l’inscription à l’UNESCO du centre reconstruit, le collectif instHavre proposait l’été 2020 jusqu’au fin octobre une exposition intitulée 6.24 au sein des cours intérieures des deux îlots. 6 assemblages photographiques étaient présentés mettant en valeurs 24 images rappelant la trame orthogonale de 6,24 mètres utilisée par Auguste Perret.
Décembre 2020, instHavre innovait dans un nouveau format en diffusion son premier mini-fanzine. Une centaine de numéro se sont écoulés en quelques jours.
L’esthétique
instHavre
La Ville du Havre et notamment son centre reconstruit est un territoire favorisant la création artistique. Ses courbes, ses formes, ses lignes graphiques, ses couleurs, ses ambiances urbaines et portuaires sont des motifs inspirants pour le collectif.
L’architecture océane est prédominante dans ce que nous donnons à voir sur notre compte Instagram et dans nos projets photographiques.
Une constante dans nos expositions, est de faire redécouvrir les détails présents sur les façades du centre reconstruit et qui font la singularité architecturale de la ville du Havre. Ce sont des motifs présents dans notre quotidien visuel devant lesquels peu de personnes ne s’arrêtent.
La nature même de nos projets prend sa source dans la définition du mot « collectif » : groupe de personnes qui poursuivent un objectif commun. Un collectif regroupe des moyens, des compétences, des énergies, des égos. Nos actions préservent la subjectivité de chacun, nous mettons en avant des signatures photographiques personnelles dans un tout, un objet, un projet d’ensemble. Notre langage photographique consiste en la combinaison, la confrontation, l’assemblage de tirages qui n’avaient pas vocation à être associés entre eux pour donner un nouveau regard, une nouvelle lecture.
L’invention des dispositifs est aussi importante que le résultat. La collecte des images étant réalisée sous forme de challenge sur le réseau social Instagram, le résultat final est donc assujetti à la production de photographies par la communauté d’instagramers sur un thème donné. Il s’agit pour nous d’un vrai positionnement dans le processus de création. Nous produisons à partir de la multiplicité des points de vue et de l’engagement de chacun des membres.
Lieu d’exposition
Hôtel des Ventes 77 rue Louis Brindeau, 76600 Le Havre
Cette année la bibliothèque Léopold Sédar Senghor expose les travaux de jeunes étudiants havrais dans le cadre du parcours photographique 2020
Les étudiants sont en première année de BTS photographie au lycée des Métiers de l’Image Saint-Vincent. Leurs univers sont très variés, allant du reportage à la photographie plasticienne.
Ces jeunes photographes espèrent vous transmettre leur goût pour l’expérimentation autour de la prise de vue et du support photographique, qu’il soit argentique ou numérique.
Participants : Corentin Paar, Selya Kilic, Benjamin Praite
Lieu d’exposition
Médiathèque Léopold Sédar Senghor 67 Rue Gustave Brindeau, 76600 Le Havre 02 35 13 99 27
Les photographies de
Nicolas Wilmouth témoignent d’une recherche picturale avancée, d’un travail
subtil sur la lumière et les matières, ainsi que d’une attention particulière
portée à la mise en scène. Si l’on peut s’émerveiller du peintre qui a su saisir
la lumière sur un verre ou l’aspect duveteux d’un fruit, on saura apprécier
chez Nicolas Wilmouth sa façon de s’approprier les effets de la peinture dans
la photographie, avec ce désir de créer des ponts entre le passé et la
modernité. La présence du clair-obscur, des portraits et des vanités modernes
évoquent la peinture espagnole et flammande du XVII ème siècle, installant son
style au croisement de l’art contemporain et de l’héritage classique.
Le jeu des objets et des anachronismes,
laissés comme indices invite le spectateur à entrer dans l’image, à
l’interroger pleinement.
Au travers de ses photographies, il explique son travail comme un souhait de “raconter une histoire en une seule image”, de “capturer un moment qui n’est plus”, ou encore de “traverser le temps”, autant de définitions de la photographie qui laissent transparaître la dimension nostalgique de son oeuvre où les images entretiennent des ambiguïtés, un certain flou entre réel et fiction, une atmosphère étrange qui invite le spectateur à entrer dans l’image, à l’interroger pleinement.
C’est dire autre chose que ce que l’on veut faire entendre,
voire le contraire, mais avec l’espérance que le destinataire comprendra Cela suppose que le récepteur soit conscient
que ce qui est dit n’est pas ce que l’on veut dire et donc qu’un lien préalable
est inscrit entre le locuteur et l’auditeur. Mieux même qu’il soit flatté de
faire partie des happy few conviés au partage des sous-entendus.
Une photo peut-elle être ironique ? Une photo peut-elle
dire autre chose que ce qu’elle montre ? Non, elle est figée dans se
représentation d’un réel. Toutefois, le spectateur a sa propre lecture et il
peut y avoir une distance très grande entre l’œil du photographe et celui de
l’observateur sans que pour autant il n’y ait une possibilité d’induire un
sens, une connivence.
C’est pour cela que Pierre Riou ne parle pas de
photographies mais d’instants teintés d’ironie. Référence classique à l’instant
décisif, celui qui, entre l’avant, l’après et l’autour fixe l’image. Peu
importe ce que le photographe avait autour ou dans son viseur et le moment où
il a choisi d’appuyer. Plus rien de cela n’est dans la photo. Il faut le
reconstituer et le photographe n’est plus maître de rien
L’art de Pierre Riou est, qu’une fois que vous avez regardé sa photo,
plus ou moins longuement, avec plus ou moins d’attention, au moment où vous
allez passer à la suivante, une tache de couleur vous interpelle et vous ramène
dans la photo. Vous aviez vu des oppositions, des regards, des lignes, des
émotions mais vous n’aviez pas vu cette petite flèche, verte, qui reraconte
l’histoire. Pas la vôtre, pas celle de la photo, celle de Pierre Riou !
Vous ne l’aviez pas vue et donc vous revenez et vous relisez, à la recherche de
nouveaux chapitres que vous et lui, croyez-vous, serez les seuls à avoir vus.
Et le photographe redevient maître de sa photo. Sa photo c’est
maintenant ; sa photo, elle est dans votre regard et c’est lui qui dirige
votre regard
Ne cherchez plus l’ironie sur la photo. Vous êtes l’acteur
de l’ironie. Et derrière vous, derrière son objectif Pierre Riou vous
photographie. Mise en abyme future, vous êtes l’instant teinté d’ironie.
Pour un enfant d’Auguste Perret, voir Le Corbusier, c’est un peu rendre visite à la famille. C’est ce que je me suis dit en découvrant l’Unité d’habitation de Marseille conçue par Le Corbusier. Celle qu’on appelle la Cité radieuse, ou encore « La maison du fada », m’a aussitôt rappelé nos immeubles du Havre reconstruit dans l’après-guerre. D’ailleurs, les époques se chevauchent. On y trouve le même matériau, le béton, sublimé par la simplicité des lignes épurées, sans artifices. Qu’il soit au service d’une esthétique rationaliste classique à l’échelle d’une ville ou d’une liberté créatrice redessinant le bâtiment, le béton aura eu son heure de gloire de Marseille au Havre ! Ils seront d’ailleurs inscrits pareillement au patrimoine mondial de l’UNESCO. C’est ce cousinage que je tente de montrer à travers ces quelques images du toit-terrasse de l’Immeuble Le Corbusier et du centre-ville du Havre. Elles ne sont d’aucune manière le résultat d’une enquête exhaustive et rigoureuse sur des architectures comparées, mais le modeste fruit de ma découverte étonnée d’une parentèle entre deux lieux, deux lumières, et quelques instants.
En attendant la réouverture le 19 mai, il est préférable de prendre RV : en appelant au 02 35 22 65 50 par mail : contact@galeriecorinnelemonnier.com sur Facebook & Instagram : @galeriecorinnelemonnier
« La
Nature est un temple… ». C’est le début du poème Correspondances de Baudelaire qui a inspiré la série Sacrée Nature où l’on invite un élément
végétal à se glisser par surimpression à l’intérieur d’une église.
Ainsi
fusionnent deux mondes, rapprochés dans une certaine logique de lignes ou de
symboles – et dans un souci d’authenticité avec des plantes toujours locales.
Quoique la démarche bouscule les frontières naturel/surnaturel, sacré/profane, il se pourrait que ce détournement un brin sacrilège s’apparente à un retour aux sources. Car la Nature, aujourd’hui presque sacralisée, ne fut-elle pas la divinité première de l’humanité ? N’est-elle pas la source primordiale d’inspiration, de méditation, de spiritualité ?
Située
à environ 22 km des côtes françaises, l’île d’Yeu (surnommée le Caillou par ses
habitants) est l’île du Ponant la plus
éloignée du continent. Lieu
intemporel, l’actualité y est souvent relayée au second plan par les histoires
locales et les prévisions météo-marines. D’une superficie de 23,32 km², l’île
offre une diversité de paysages qui la rend pittoresque. Cet environnement
préservé a su garder son authenticité, loin d’un monde continental urbanisé et
industrialisé.
Alors
que l’île a vu son économie s’orienter vers le tourisme pour palier au déclin
de la pêche, 4891 habitants – incluant 896 jeunes Islais – y vivent à l’année.
Comme leurs aînés, ces derniers dépendent des bateaux et des horaires de marées
pour rejoindre le « continent » ; les jours de tempête sont donc redoutés.
L’isolement – surtout l’hiver – peut être oppressant pour les non-habitués. Au
point que le collège public des Sicardières a été classé en réseau d’éducation
prioritaire (ex-ZEP) à cause de sa situation géographique.
Cette contrainte fait pourtant partie du quotidien, tout le monde en est conscient et vit avec. C’est ce qui forge une jeunesse indépendante et hyperactive, tant attachée au Caillou. Libres, et en sécurité sur un territoire restreint, ces groupes d’enfants apprécient le sentiment de protection lié à l’insularité, loin des « dangers » des zones urbaines. Ces derniers – soudés depuis la maternelle – sont également avides d’aventures ; ils perçoivent les atouts naturels et côtiers du Caillou comme un terrain de jeu grandeur nature. Enfin le jeune Islais assume son insularité, comme la plupart des habitants qui savent faire perdurer depuis des décennies une authenticité qui fait de Yeu un lieu si singulier. Mais en troisième, entre enfance et adolescence, ils se préparent au passage île-continent afin de poursuivre leur éducation au lycée. Les collégiens redoutent la découverte d’un nouvel univers, plus urbain et vaste. Certains s’impatientent à l’idée de découvrir un monde fait d’anonymat, de diversité et de nouvelles activités. Lucides du manque d’offres d’emploi et de la nécessité d’entreprendre des études universitaires, ils retourneront de temps en temps sur le Caillou. Alors que d’autres envisagent leurs avenirs avec l’île comme seul territoire, en étant conscient des contraintes, mais aussi du patrimoine culturel et naturel qu’ils ont hérité.
Alain BLONDEL défie la rouille avec la collaboration de Jean Pierre LARTISIEN
A force d’admirer les sculpture de son ami Lartisien, Alain à eu l’envie de découvrir d’où venaient ces pièces de métal rouillées étonnantes que entrent dans ses créations
Une immersion dans le milieu extraordinaire du recyclage de métaux.
Ma passion d’adolescent est devenue mon métier en 1987 avec le rachat du magasin de matériel photographique « Roland Photo ».
Devenu l’enseigne « CREAPOLIS » avenue René Coty au Havre, j’organise pour mes clients des stages et des voyages photo en Normandie et dans différents pays du monde.
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