LES ZAZOUS – du 1er avril au 30 avril 147 Rue Victor Hugo, Le Havre Horaires du mardi au samedi de 17h00 à 02h00
Cyril Bonneville a 49 ans. Originaire de Fécamp, il travaille auprès d’enfants en situation de handicap. Il a toujours aimé contempler et observer, l’envie de prendre des photos lui est venue dès l’enfance. Cyril nous présente une série de clichés qui témoignent de ses passions : la photographie et la musique. Images de concerts, Arno, Izia, Raoul Petite et bien d’autres. Il immortalise ces instants magiques avec de la pellicule argentique. Pas de prises de vues en rafales, il faut juste savoir à quel moment prendre le cliché. « Je fixe ces moments privilégiés en jouant avec la lumière, qu’elle soit naturelle ou artificielle. J’aime aller à la rencontre des autres et partager ma vision photographique lors des expositions ».
LE CEM – du 1er avril au 30 avril 55 Rue du 329ème – 77 Rue du 329ème, Le Havre Horaires mardi, mercredi, jeudi de 14h00 à minuit vendredi de 17h à minuit samedi de 14h00 à 19h00
Photographe amateur autodidacte, j’ai développé au fil des années un univers visuel à la fois sombre et onirique peuplé de personnages et de mondes irréels. En 2016, à l’occasion d’une soirée pour ma première exposition au CEM dans le cadre du parcours « Are You Experiencing », j’ai retrouvé un ami de lycée, membre du groupe de musique Orange Yéti, qui enregistrait alors son premier disque. Le groupe m’a fait confiance pour illustrer la pochette de cet album. L’aventure a continué avec les opus suivants, et depuis peu pour le tournage de clips musicaux. Depuis ce jour, mes photographies ont servi pour les visuels d’autres formations de la scène locale. Les pochettes de disque présentées ici représentent mon univers photographique. Certaines sont fictives, d’autres m’ont été commandées.
LE CEM – du 1er avril au 30 avril 55 Rue du 329ème – 77 Rue du 329ème, Le Havre Horaires mardi, mercredi, jeudi de 14h00 à minuit vendredi de 17h à minuit samedi de 14h00 à 19h00
Photographe autodidacte, présent dans différents domaines de la photographie depuis une quinzaine d’années, Michaël présente ici des photographies exclusivement prises en concert. Vous reconnaitrez sur scène Iggy Pop ou Jeanne Added, ce n’est pas tant le prestige des artistes qui est mis en valeur que leur performance. L’expression d’un visage, d’une main traduit l’émotion, le mouvement ou la dynamique de l’expression d’un corps. Un concert, c’est aussi une expérience collective qui va au-delà de la musique et de la performance. C’est une ambiance, un public auquel on se mêle, un lieu, une lumière particulière. Michaël a été photographe officiel des Festivals, Beauregard, Ouest Park et We Love LH.
Tout commence en juillet dans les Vosges, le jour de ses 9 ans. Il reçoit ce jour-là un petit Kodak Instamatic, qu’il adopte immédiatement. Ses premières photos : des champs autour de la maison, un peu bancals, les moutons de la ferme au loin – trop loin !, les Vosges, l’été. Son père, qui prend beaucoup de photographies de végétaux pour ses travaux scientifiques, a guidé les premiers pas de son aîné : ne pas mettre l’horizon au milieu, faire un premier plan, soigner la mise au point, l’exposition … Lentement, l’éducation à la perception de la lumière fait son chemin.
A la fin du 19ème siècle, la représentation de plus en plus fidèle de la réalité par la toute jeune photographie est l’argument principal des détracteurs de celle-ci, pour lui dénier toute ambition artistique : une stricte reproduction de la réalité, par le biais d’une “machine”, ne peut à leurs yeux prétendre incarner une quelconque démarche artistique. En réaction, le mouvement pictorialiste explore donc un certain nombre de pratiques et de techniques pour ré-introduire dans les tirages une distance vis-à-vis du réel et une possibilité d’action directe sur l’image en révélation, ouvrant de ce fait la porte à des prétentions artistiques : une de ces techniques est le tirage à la gomme bichromatée.
Le principe est simple. Il exploite la caractéristique des colloïdes (ici la gomme arabique) de durcir à la lumière avec l’ajout de bichromate de potassium. Comme ce mélange est transparent, il faut apporter de la couleur par des pigments utilisés en peinture, aux noms poétiques : terre de Sienne, d’Ombre, brun Van Dyck, rouge de Mars, noir de fumée… ce qui produit des images en nombreuses variations autour du brun, du rouge ou orange et du sépia. Le positionnement temporel d’une image contemporaine est ainsi brouillé par ces tonalités chaudes et ce rendu pictorialiste qui renvoient aux débuts de la photographie, tandis certaines scènes, plus intemporelles, conservent leur sens avec ce rendu.
Avec cette technique très manuelle, soumise aux conditions climatiques et à la qualité de l’eau, aux résultats souvent aléatoires, aux étapes de tirage nécessairement longues, la photographie numérique retrouve une matérialité et un caractère unique que les méthodes d’impression actuelles ne peuvent plus procurer. Une sorte de “slow photography”, à rebours de la compétition technologique. Enfin, grâce à ces qualités, orthogonales à la précision toujours plus poussée des capteurs numériques actuels, la technique de la gomme bichromatée est donc un moyen privilégié pour ré-interpréter des images numériques, en introduisant une distance au sujet, par la perte des détails et des valeurs faibles de l’image, par le grain du papier et la variation des tonalités qui explorent les possibilités des pigments utilisés. L’exploration de cette distanciation est donc l’objet de la série présentée.
GALERIE SZABOOVA – du 1er avril au 30 avril 87 Rue Emile Zola, Le Havre Horaires du mercredi au samedi 10h00 à 12h00 – 14h30 à 18h30 dimanche 13h30 à 18h00
Artiste permanent de la galerie Agnès SZABOOVA Le Havre.
A l’origine, il y a la photographie, non pas comme la reproduction plus ou moins fidèle de la réalité, mais comme la matière première de mes créations.
« Je n’imite pas la nature, je travaille comme elle » disait Picasso. J’aime cette définition de la création et je tente de l’appliquer en réinventant une interprétation aléatoire et non figurative de ce que je vois. Brouiller le réel, mélanger les origines, ne retenir que l’essentiel et introduire le flou libérateur.
« Gérard DUBOC apporte à l’oeuvre un rythme, une vibration, un mouvement fluide et rapide. L’influence pop’art est présente dans le détournement et la destruction des images populaires » Nathalie LUCAS, Critique d’art.
Diplômé du Lycée du Livre et des Arts Graphiques de Paris en 1992, il suit ensuite les cours supérieurs de l’Atelier Albers en 1993. Il débute en tant que Directeur Artistique au sein de l’agence BDDP en 1995, il poursuit en 1997 chez Saatchi & Saatchi. En 2003 il s’installe en Freelance et monte en 2008 un Studio Photo en parallèle commençant à développer ses premiers projets artistiques d’auteur. Il s’en suit la réalisation de plusieurs séries photographiques aussi différentes techniquement que diamétralement opposées artistiquement étant cepandant reliées par une dimension poétique manifeste.
A bord d’un train, d’un avion, d’un bus, les paysages défilent. C’est nulle part, n’importe où, là où la poésie de ces paysages libérés de présence humaine transcende la beauté nue, le mystère seul. Une énigmatique impression d’un instant d’âme figé.
Les voyages en train forcent le côté contemplatif. Immobile et spectateur, le voyageur est face à lui-même durant tout le trajet. Seul, contraint à cette attente forcée. Seul avec ses sentiments intérieurs. Dehors, les paysages s’enchainent sans qu’on ne puisse les arrêter. Jusqu’au point où l’intérieur et l’extérieur arrivent à se conjuguer, s’entrechoquer parfois.
Ce sont les images de cet album de « Souvenirs d’âme » que j’ai cherché à évoquer. Chaque cliché illustre un état, un sentiment, un ressenti, il tente de marier l’émotion intérieure et le paysage extérieur, les révélant comme deux éléments désormais poétiquement liés…
HAPPY DOCK – du 1er avril au 30 avril Hôtel Mercure, Centre Bassin du Commerce, Chaussée Georges Pompidou, Le Havre Horaires du lundi au dimanche de 10h à minuit
Cette série photographique a vu le jour au gré des déambulations d’Amélia, le plus souvent les yeux rivés vers le ciel. Elle prends le temps de regarder ce qui nous entourent et pose son regard sur l’infiniment petit comme l’infiniment grand, on en oublie la notion d’échelle.
Apprécier ce qui semble banal au quotidien habillant les villes. À travers cette série Camélia aspire à transmettre le goût de prendre le temps de regarder la beauté née et orchestrée par la prise de vue. Elle aspire à inviter à regarder différemment avec attention, avec envie, avec intérêt, avec douceur les choses ordinaires qui nous entoure. Les éléments construisant ses photos sont parfois des énigmes architecturales posant la question du comment, quel positionnement garder face au sens de libre lecture.
HAPPY DOCK – du 1er avril au 30 avril Hôtel Mercure, Centre Bassin du Commerce, Chaussée Georges Pompidou, Le Havre Horaires du lundi au dimanche de 10h à minuit
1994 – Équipée du Canonet 28 de mon père, j’ai couvert les manifestations étudiantes et la grève générale de 1995 à Nantes. Après une parenthèse de 20 ans sans faire d’images, j’ai repris l’envie de photographier. Spontanée dans ma renaissance photographique, j’aime me laisser surprendre par les instants du quotidien, saisir des détails au gré de ma sensibilité et du moment.
Une femme Des femmes Des petits instants précieux Des saisons Le temps qui passe Des espaces Un territoire Elle est moi Une géographie féministe. Le voyage imaginaire d’une femme empreinte de liberté.
Passionné d’image depuis l’adolescence, j’ai commencé par le dessin d’illustration. Après 3 ans d’études, je me suis tourné vers des formations Pao. Je travaille actuellement en free-lance en tant que retoucheur photo pour des agences de post production images. En même temps je commençais à voyager, à découvrir le monde. Alors pourquoi ne pas me mettre derrière l’objectif ? Mon aventure photographique était née.
2011 – cette année-là, nous avons été bloqués sur la route du sud à Vìk à cause de la poussière volcanique. L’air était peu respirable et la poussière rentrait partout dans les sacs, les vêtements, les appareils photo. Nous avions l’impression d’avoir une brume épaisse qui nous obscurcissait la vue. Des paysages lunaires défilaient devant nos yeux. A la nuit tombée, les lumières artificielles reflétaient cette présence humaine cachée. 2015 – Je choisi d’approcher une Islande différente, une Islande glacée, blanche, synonyme de terre immaculée. Et pourtant l’homme est bien là dessinant, modelant le paysage. Ce fut un hiver de records, dont on se serait bien passé… une tempête tous les trois jours.
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